![]() Il m’arrive d’échanger épistolairement avec des hommes et femmes, dom et soum. Je m’excuse d’ailleurs de ne pas être bon dans le suivit de ces échanges. Je suis mal organisé, brouillon, je me perds. Surtout ces temps-ci. Je dis souvent la même chose : je remercie pour leur lecture assidue et j’aimerais savoir quel thème leur plait le plus. D’ailleurs n’hésitez à revenir vers moi avec des conseils ou des envies. C’est toujours intéressant et motivant. Dernièrement, une correspondante, désirait plus de textes concernant les séances. Et de les faire en version courte. Je pense que c’est une critique à peine voilée du fait de mes introductions trop longues. Oui, comme là maintenant. Mais bon, l’ego c’est légal. Je répliquais que je redoute les redondances et la routine textuelle. Elle ma répondu qu’il faut revenir aux bases. Alors back to basic : une séance en 500 mots (Outre les 155 déjà posés). Quelle date ? Quel pays ? USA dans les années 90, Paris début 2000, 2010 au Maroc ? maintenant en Savoie ? Je lance les dés. Parce qu’à la base, l’idée du blog était de faire « le bilan de ma vie sur la diagonale de la sensualité ». Et puis, petit à petit, les anecdotes croustillantes ont été mises de côté car j’ai entretenu des relations plus ou moins longues en BDSM. Et quelques « collègues » trouvaient que je passais pour un collectionneur. Mais je pose la question. : vous préférez un homme qui n’a pas eu d’expérience et qui baise mal ? Ou un qui a suffisamment d’expérience pour donner des sensations fortes ? Je crois que la question elle est vite répondue. (Alors tu peux continuer à te masturber comme une collégienne, seule dans le lit dans tes draps bleus froissés. Ou alors tu me contacte et alors on pourra parler.) :) Parce que pour avoir de l’expérience, il faut quelques heures de vol. Il n’y a pas à tortiller. Et puis je n’ai pas la carrière d’un hardeur non plus. La moyenne d’un homme serait de 14 partenaires dans une vie. Oui bah, voilà quoi … Je dois être un tout petit peu au-dessus. Le pire c’est que j’ai toujours eu l’impression de ne faire que des rencontres exceptionnelles. Sauf une ou deux moyennes. Bref. j’ai ajouté une réflexion liminaire après l’introduction. Mais cela m’a permis de réfléchir. Vous savez la peur de la page blanche. Pouf pouf Comme je disais, avant de rentrer pleinement et consciemment dans le BDSM, j’ai toujours été un beau parleur, un peu manipulateur, imaginatif et dominant. Voici une anecdote qui concerne la volonté de sortir des carcans.
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Auteur
Ethan, adepte du BDSM, dominant, explorant une philosophie humaniste au travers d'une pratique socialement en marge. Archives
Novembre 2023
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