Vite, vite, viens voir, il y a la checklist d’Ethan Dom ! A l’origine de ce blog, il y a une démarche personnelle. Mais en sus d’évoquer ma paire, il y a une volonté de partager avec mes paires. Or je n’ai jamais étudié ni réfléchis à mon audience. Il s’avère que selon le courriel reçu et vos commentaires (toujours dans la bienveillance, merci), je me suis aperçu que beaucoup parcouraient mes écrits dans le but d’obtenir des réponses. Je croise quelques commentaires de soumises aguerries qui ont cumulées quelques déboires. Mais la plus grande partie sont des lectrices « débutantes » qui se posent la question « j’ai envie mais comment puis-je faire ? » ou « comment reconnaître le maître idéal pas collant mais qui s’occupe de moa ? ». Ce sont les deux principales questions. La réponse à la seconde question est simple : les bons maîtres sont pris ma bonne dame. Mais si vous en voulez un excellent, je peux vous trouver un créneau en 8, entre 21h et 23h. Pouf, pouf…Je reprends après cette galéjade égotique.
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On a peut-être trop tendance à penser le « bdsm à plusieurs » comme un passage obligé sans se demander pourquoi et comment. Il y a des variations et même des différences dès qu’il s’agit de se retrouver « à plusieurs ». Attention, je ne traite ici que du coup par coup. Et pas des dominant(e)s avec plusieurs soumis(es) à demeure ou non sur le moyen/long terme. Je l’évoquerais sûrement, c’est un sujet à part entière. Vous avez dit trio ? Ne quittez pas, ….Le thème du « trio HHF » est apparu comme un défi de la part de ma soumise. Trio HHF, terme certes vulgaire mais explicite. Regardons les choses en face : une réelle difficulté pour moi à la base. Pour deux raisons : mon côté mâle alpha me pousse à vouloir égorger toute autre porteur de gonnades à moins d’un mètre qui lorgnerait sur ma soumise. Et seconde raison : l’appartenance (réciproque) ne m’incline guère au partage.
Oui, c’est de la jalousie, de la peur issue d’un monde vanille que j’ai vécu longtemps. Des réflexes d’un autre âge difficiles à dépasser. Mais ce sont des symptômes précis qu’il est possible de prendre à bras le corps et d’affronter. Ce fut une expérience abasourdissante. Ma soumise en mode joueuse me proposa de réaliser une rencontre avec un autre homme et/ou dominant. C’est un des détails du contrat. Nous sommes ouverts à ce que d’autres partenaires participent à divers degrés. Que ce soit un couple libertin, un couple bdsm, une soumise, un dominant ou un/e béotien(ne). Elle propose même un de ses « amis » dominant avec qui elle converse depuis des mois qui, derrière son côté un peu fantasque, semble doux et respectueux. Cet été 2018, nous sommes sortis en club ayant pour thème le BDSM. Ce fut une première pour moi et ma soumise. Il fallait bien se confronter un jour à la réalité des autres. Ce weekend ci, notre rencontre se fait sur Lyon. J’ai cherché toutes les soirées. Je jette mon dévolue sur la Krypte qui est la partie underground de l’Oasis, un sauna tendance gay. Après être sortie en club libertin, il m’a paru plus indiqué de fréquenter la communauté LGBT+ que celle des libertins. |
Auteur
Ethan, adepte du BDSM, dominant, explorant une philosophie humaniste au travers d'une pratique socialement en marge. Archives
Septembre 2024
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