Le jour où je l'ai brisée ![]() Elle est nue, à genoux sur une couverture. Dans son dos un radiateur diffuse une douce chaleur. Je vais tenter une séance de régression. Elle m’avait fait promettre de le faire. Je compte sur ma position de dominant pour lui imposer une réflexion mais je n’ai pas bon espoir. Une régression est la plupart du temps initié par la soumise, non le dominant. Souvent, je saisis la balle au bond lors d’un questionnement personnel ou une angoisse. J’écoute, j’essaie de diriger la descente en rassurant et en faisant creuser au plus profond des souvenirs. On parle de traumatismes, d’événements précis ou d’un cercle vicieux qui s’est mis en place. Les blessures sont souvent conscientes mais si elles ralentissent encore des années plus tard c’est que le nettoyage n’est pas terminé. C’est la douleur, l’injustice, la culpabilité et, dans le cas du BDSM, un questionnement de fond : comment peut-on aimer être dominée, humiliée, frappée, attachée, etc…Alors qu’on l’a vécu trop jeune, sans consentement ? Je tenterais de répondre à ce sujet sur un autre billet. En attendant, Gwen est là. Je lui demande de me parler des circonstances de son premier viol. Elle avait 6 ans. L’âge de ma fille. J’en tremble à chaque fois. Elle a du mal à commencer, ses larmes coulent immédiatement. Je pose des questions et je l’encourage mais elle ne fait que répéter un discours qu’elle a déjà tenu maintes fois devant la police, les juges, les psys. Je n’arrive pas à détecter une faille, une phrase à laquelle m’accrocher pour éclairer un des recoins encore sombre de son esprit. J’essaie de mettre sur pause ou de diriger dans une direction pour attaquer une des facettes comme celle du plaisir non consenti ou de la culpabilité. Mais tout est lisse dans sa douleur. Elle pleure à chaude larme, comme un plaie ouverte. Je lui tends plusieurs mouchoirs. Elle change de position.
Je décide de terminer la séance de régression et la fait remonter doucement. Mais mon bilan est négatif. La petite fille violée ne lâche pas prise. Tout a été analysé dans ses thérapies et malheureusement figé dans le temps. Une chaine énorme la retient dans le passé malgré ses avancées dans la vie. De plus, depuis son arrivée, elle est très rebelle. Depuis 24 heures qu’elle est en ma présence, elle refuse mon emprise en jouant à me défier. Non pas que je cherche à la dompter particulièrement mais une partie d’elle essaie de me fuir. Cette partie qui refuse d’accepter qu’elle est plus qu’une survivante : qu’elle est une guerrière. J’ai eu beau lui dire, lui démontrer, je me retrouve devant une élève qui dit non quand on lui démontre que 1+1=2. Pourtant elle est intelligente, subtile, douée pour l’écriture, courageuse et bonne maman. Elle a du répondant bien que de 6 à 33 ans, sa vie ne fut qu’une succession d’embuches, d’erreurs et de difficultés. Depuis son viol, elle a prit l’habitude de vivre décalée des autres. Elle a répété un cercle vicieux d’abus, a décroché dans ses études et fait des séjours en clinique psy. Je regarde ses bras et je compte mentalement les nombreuses cicatrices sur ses bras comme autant de tentatives de suicide et d’automutilation. Il y en a plus de 15. Séparée 2 ans plus tôt d’avec un homme qui l’a lui a fait les pires crasses et qui maintenant ne paie pas sa pension, a laissé tomber son entreprise et a fuit. Elevant seule ses deux enfants dont une ayant des difficultés. Elle se sent comme au point mort et j’ai l’impression d’être le seul à voir qu’il n’en ait rien. Pour moi elle est plus qu’une survivante, elle est une battante. Elle fait ce qu’elle peut avec ce qu’elle a et c’est déjà énorme. Mais elle ne l’accepte pas. Je l’autorise à enfiler un tee shirt. Nous sommes dans une impasse. Depuis des mois, les nombreuses conversations que nous avons eut ne portent pas suffisamment leur fruit. Que ce soit sur la société, la psychologie. Elle entend, elle comprend mais n’arrive pas à évoluer. Elle reste désespérément accrochée à des certitudes qui l’alourdissent. Elle est figée dans l’idée qu’on lui a volé sa vie, qu’on la tuée. Elle a construit un monde dans son esprit ou le prince charmant viendra la sauver, où chaque personne de ce monde devrait parler au premier degré sans chercher à nuire aux autres. Qu’elle a besoin d’être protégée car elle ne sent pas de taille à affronter la vie. Je lui ai déjà expliqué qu’il faut qu’elle abandonne ce mode de pensé inventé par une petite fille à l’âge de 6 ans pour survivre. Car même si le prince charmant débarque un jour, il n’a pas de machine à remonter le temps. J’ai besoin de réfléchir et je sors fumer une cigarette. Je lui donne des instructions pour qu’elle ne se perde pas dans les méandres de son esprit. Je sais déjà la décision que je dois prendre. J’ai juste besoin d’un peu de temps pour me faire à l’idée. Je dois la briser. J’ai essayé le chirurgical, la précision, plusieurs techniques. Mais ses avancées se soldent par des retours en arrière fulgurants. Je dois lui démontrer qu’elle est une battante en la cassant. Je lui ai déjà expliqué que la domination à un certain point doit dépasser le volontariat, le consentement. Sinon cela reste un jeu. Alors que d’autres forces sont en œuvre. Elle a bâtie des murs aux mauvais endroits et je dois les casser. Malheureusement je sais qu’elle y est adossée et que cela va abîmer la gentille Gwen. Mais je dois faire surgir la guerrière. Je me lève. - Mets toi en tenu immédiatement. Mon ton est froid et sans appel. - Soutien gorge a balconnet, string ouvert, porte jarretelle et bas. Je vais faire des photos de toi. Elle sent qu’il a un souci car je n’ai pas besoin de prendre ce ton pour simplement la photographier. - Tu as 4 mn. Elle part dans la chambre pour se préparer. Elle a à peine balbutié un « oui, maître ». Elle revient dans les temps pendant que je fais les 100 pas. Elle essaie de poser une question mais ravale ses paroles en croisant mon regard dur. - A quatre pattes sur le canapé ! Elle s’exécute. Je prends de suite le bandeau et la plonge dans le noir. Je sais qu’à partir de ce moment ses autres sens se décuplent. Je l’harnache de manière vive : collier et laisse, menottes en cuir reliées par une chaine aux mains et aux pieds. Je finis par un bâillon boule. Je la trouve magnifique mais je me retiens bien de le lui dire et la photographie rapidement avec mon téléphone. Je n’ai pas sorti mon appareil car ce n’est effectivement pas la raison pour laquelle je l’ai fait mettre en place. Mon objectif est de la faire paniquer, la mettre en position de déchéance, la briser pour lui prouver sa résilience. Ma technique est brutale : ajouter l’impact psychologique à l’impact des coups. Je vais lui faire croire que je suis hors de contrôle et je vais m’acharner sur son corps jusqu’à la perdition. J’ai cependant une difficulté : l’empêcher de se dissocier. A un certain point, elle peut s’évader de son corps et n’être qu’un robot sans ressenti. Afin de la garder mentalement sous ma coupe, je compte sur ma colère feinte pour lui faire croire qu’il n’y a pas d’échappatoire. Ce que je m’apprête à faire est purement de la torture mentale : prendre la partie victime de son être, l’empêcher de fuir et la diluer jusqu’à qu’il ne reste que la battante. Je suis malheureux de faire cela. Mais je ne vois pas d’autres solutions. Elle s’est elle-même emprisonnée dans une geôle. J’ai souvent ouvert la porte mais elle refuse de sortir. Alors, je vais entrer dans sa prison mentale et achever la prisonnière. Je sais qu’elle a caché mon matériel d’impact par jeu. De toute façon, elle a joué à la gamine depuis 24 heures. Je fais comme si je cherchais. - Mais ou est donc passé ma cravache ?....Mais…je ne trouve pas mon fouet non plus….Ni le paddle. Je tourne dans la pièce faisant semblant de chercher. Mon ton monte. - Je ne comprends pas. Il devrait être là. Ce n’est pas toi petite pute qui l’aurais planqué par hasard ? Si c’est toi qui as osé jouer à ça, tu vas le payer cher. Elle est figée, sa respiration devient plus forte et siffle au travers du bâillon boule. L’attente doit lui sembler des heures. Mais elle ne dit rien, ne bouge pas. Je lui souris mais elle ne le voit pas. Je finis par me diriger dans la chambre et sortir le matériel qu’elle avait caché sous le lit. - Donc c’est bien toi qui voulais éviter que j’aie l’idée de te faire une séance ?! Tu as fait preuve de rébellion mais en plus tu es stupide. Tu pensais vraiment que de ne pas voir mon matériel allait me faire oublier qu’il existait ? Je pense que tu cherches plutôt une punition ! Elle est comme paralysée. Je commence à faire glisser ma cravache sur son corps. J’en profite pour prendre une photo, la cravache posée sur son admirable fessier. Puis j’assène un premier coup, très sec. Elle gémit immédiatement. Le ton est donné. Je n’y suis pas allé graduellement comme d’habitude. Je ne demande pas son estimation de la douleur. Je ne l’encourage pas. Nous sommes dans la punition injuste. Je monte le degré de force du premier coup, sous entendant que les autres seront plus forts. Par contre je ne compte pas donner beaucoup de coups trop forts. La casser physiquement rapidement serait une erreur car c’est l’esprit que je vise. Je compte ainsi sur la longueur de la séance plus que sur la dureté, la succession des outils utilisés et la peur que j’ai instillée. Simuler ma rage va multiplier par deux les sensations et provoquer la panique. Je durcis mon cœur et mon ton alors que je la trouve tellement belle offerte comme cela. Je n’ai pas une once colère en moi. Seulement une froide détermination qui est celle de la faire avancer. Je la cravache 4 fois. Elle gémit de plus en plus. - As-tu compté combien de coups je t’ai donné ? Elle fait non de la tête et essayant de répondre. - Alors je vais recommencer depuis le début. Et je lui assène 10 coups de cravaches. Un peu espacés, choisissant les parties les plus rebondies. Elle compte en soufflant au travers de son bâillon boule. Je fais une pause à dix. Puis je reprends. Je la fouette quelquefois au lieu de la frapper directement. La douleur est plus précise sans être marquante. Je fais semblant de rater un coup et pousse un cri de rage contenue pour que l’impact du suivant donne l’impression d’être puissant. Bref, je joue au sadique, alors que je n’ai aucun plaisir. J’ai la gorge nouée et un profond respect pour cette femme qui s’offre sans être totalement maso, en proie à une terreur grandissante. Je frappe un dernier coup encore plus fort que les autres comme un point final. Et là, elle s’écroule. - Redresse toi. C’est loin d’être terminé. Elle s’exécute immédiatement. Elle sent ma cravache passer sur ses mains, ses genoux, ses pieds. - Tu n’es pas stable. Avance le genou droit. Recule la main gauche. Sois résolue à te positionner correctement. Un peu de tenue que diable ! Elle obéit. Je lui enlève son bâillon boule car elle commence à avoir du mal à respirer. Une fois de plus, je pourrais la laisser se perdre directement mais je veux que cela soit long dans sa tête. Comme une descente aux enfers. Pour que ma démonstration soit radicale. Je prend le fouet et la caresse avec afin qu’elle comprenne que si l’accessoire à changé, la séance continue. Même scénario que la première fois. 10 coups de fouets en longueur, cette fois sur ses épaules aussi et un entracte sur sa petite chatte. Mes coups sont nets et la puissance monte crescendo. Je suis « obligé » maintenant car sa peau doit commencer à s’anesthésier et je dois augmenter la puissance. Elle s’écroule à nouveau. Je me demande si je dois arrêter…. Je me torture aussi. Mais je dois aller au bout du processus. - Redresses toi bon sang ! Je ne lui laisse pas de porte de sortie. Ses larmes coulent. J’ai tellement envie de la prendre dans mes bras. Mais je dois continuer. Tirant sur la laisse je la fait descendre du canapé et la dirige à quatre pattes jusqu’au milieu de la pièce ou j’ai tendu une grande serviette de bain. Elle comprend ce qui va arriver et elle tremble de tout son être. La bougie. Je continue mon cirque en prétextant avoir des soucis de briquets et pestant. Elle dit quelque chose que je ne comprends pas. - Que dis-tu ? - Pas sur …s’il vous plait. - Je n’ai rien compris. Articule. - Pas sur les plaies s’il vous plait. J’ai le cœur brisé. Sa voix est si plaintive, si faible. Elle est tellement perdue qu’elle croit qu’elle saigne. Je sais qu’elle est en panique. Elle a perdu le sens de la réalité et vit un cauchemar. J’hésite : dois-je arrêter ? L’encourager ? Je prend la décision de me tenir à mon plan et la mort dans l’âme je lui donne le coup de grâce. - Tu ne vas pas à m’apprendre à faire couler de la bougie ! Je vais t’expliquer. J’allume la mèche. Là je me fais couler de la cire à 20 cm sur le dos de la main et je tiens le coup. Alors tu vas y arriver ! - Oui maître. Je me relève et monte ma main le plus haut possible. Je calcule 1m20. Et je laisse tomber une goutte sur son épaule. Même si elle ne saigne pas, je vise les endroits les moins marqués de sa peau. Elle tressaille et ploie. - En position ! Elle obéit. Une succession de gouttes. A chaque fois, elle s’incline, proche de la chute. Elle ne sait plus contrôler son corps, contenir la douleur et encore moins la transformer. Mais à chaque fois que je lui dis de se remettre en position, elle s’exécute. Elle n’utilise pas son safeword pourtant, ne le murmure même pas. Je m’arrête à 6 gouttes que j’ai disséminé un peu partout. J’avais préparé des glaçons et j’en prend un pour rafraichir sa peau. Elle tremble comme une feuille. Je le laisse fondre un peu et le glisse dans le sillon de ses fesses jusqu’à son sexe et je l’insère. Elle se débat mollement, à bout de force toutefois je ne comprend pas que là s’en ait trop. Son cerveau défaille. Et pourtant elle tient toujours. Son instinct de survie est plus fort. Il faudra du temps pour qu’elle comprenne. Mais c’est ce moment que je lui expliquerais en détail. Ce moment où elle vivait l’enfer et qu’elle n’a pas lâché. Elle croira que c’est par peur au début, mais elle comprendra que c’est son instinct qui l’a fait se relever. Elle aurait pu ne pas se relever. Elle aurait pu donner son safeword. Mais la guerrière s’est redressée fièrement. Elle a trouvé l’énergie d’affronter l’homme qui la bat. J’ai brisé la chaine de son passé. Pour lui montrer la battante qu’elle est maintenant. J’ai bien sur le doute de remplacer un trauma par un autre. Mais c’est le rôle et le risque que je dois assumer. Pour bien planter le clou, je l’amène encore jusqu’au canapé. A nouveau en position. Je prends le paddle. - Tu pensais avoir fait le tour ? Mais tu as planqué le paddle aussi. Et je donne trois petits coups sur ses fesses. A peine plus fort qu’une main au fesses sur une secrétaire dans les années 50. Mais là elle tombe en sanglot. C’est terminé. Elle est brisée. J’ai une énorme boule dans la gorge. La mauvaise conscience me taraude mais il est trop tard. Ma voix se fait douce. - Je suis fier de toi. Tu as été formidable. Je lui caresse les cheveux. L’embrasse sur le front en lui enlevant le bandeau. J’enlève rapidement les chaines mais lui laisse les menottes pour qu’elle puisse s’écrouler sur le canapé rapidement. Elle se roule en boule directement et je la couvre d’une couverture. Ses larmes coulent. Il n’y a rien d’autre à faire que d'être prêt d’elle et attendre qu’elle remonte. Laisser la panique s’évanouir, la haine s’apaiser, la tristesse s’éteindre. Je lui amène un verre d’eau sucrée qu’elle boit avidement. Puis un mouchoir pour ses larmes. Je met de la crème à l‘arnica sur ses marques et enlève les quelques traces de bougie résiduelle. Elle se laisse faire sans un mot comme un animal blessé. Je ne peux qu’être chaleureux, bienveillant. Je ne peux pas encore lui dire que je l’ai fait exprès sans plaisir. Que j’avais décidé de la briser pour que son Moi négatif arrête d’empêcher son évolution. Il lui faut du temps pour se remettre. J’avais tablé sur 20 à 30 minutes. Mais là les 45 mn s’éternisent. Je m’inquiète qu’elle soit figée dans sa torpeur et que mes paroles n’aient pas été suffisantes. - Tu voulais une raclette ce soir pour le diner. Mais le restaurant va bientôt fermer. Elle se redresse. - Oh. Je veux une raclette. Je la mérite. Je ne peux m’empêcher de sourire. Putain de battante. Elle m’impressionne. - Mais si tu es fatiguée… - Non. Je veux juste voir mes plaies. - Tu n’as pas de plaies. - Tu es sur ? - Oui. Je n’ai pas frappé si fort. - Tu plaisantes ? je l’ai senti passé ! - C’était le but. Mais c’était du théâtre. Elle se lève, file dans la chambre pour regarder son corps. Ses épaules, son dos, ses fesses surtout sont zébrés mais elle ne saigne pas. Elle s’habille bien vite et nous partons pour le restaurant. Elle semble renouer avec la réalité, parle normalement. Le débrief se fait devant le fromage qui fond dans une ambiance typique d’un restaurant savoyard. Mais elle est encore dans un état second. Je lui explique par petite touche ce que j’ai voulu faire mais elle m’en veut. Elle m’avoue qu’elle a eu extrêmement peur et mal. Sa voix est douce mais pleine de reproche. Encore sous le choc, elle ne veut pas accepter que je n’aie pas frappé si fort que cela. J’essaie d’expliquer que ce la force physique et l’emprise psychologique, la mise en scène qui lui ont fait croire qu’elle était victime d’un malade. Je lui dis que je prie pour qu’avec le temps cette séance fasse son effet. Je lui demande pardon car ce fut pour moi difficile de jouer les sadiques. Elle me croit. Elle sait que je ne le suis pas. Je n’ai pas mauvaise conscience. J’ai fait un choix et je dois l’assumer. Mais je suis inquiet quand même. On rentre. Elle est épuisée mais son visage est serein. Elle ne s’en aperçoit pas mais elle est plus légère déjà. On vérifie : 90 % des marques ont déjà disparues. Elle est troublée et me regarde bizarrement. Elle se demande comment c’est possible alors qu’elle a subit une séance de torture. Elle paraît même déçue. - J’espère que j’en garderais une quand même durant quelques jours. - Celle-la devrait tenir 2 jours, dis-je en désignant celle qui a certainement issue du premier coup de cravache. Elle a vécu l’horreur dans sa tête et 2 heures plus tard, elle souhaite en garder les stigmates. Elle me fait sourire et je la cajole. Je sais qu’il faudra du temps pour que le négatif de cette soirée se transforme en positif. Mais je suis confiant. C’est une battante, un ange guerrier. Ethan P.S. : je vous encourage à lire le texte de ma soumise à propos de cette même séance qui vous donnera un angle différent. Nous avons beaucoup débattu à ce sujet. Il s'avère que depuis une régression réussie a eut plus d'effets positifs que cette séance. Mais je suis fier d'elle qui a réussit à dépasser cette épreuve. Illustration : ©eth@ndom. Modèle et courageuse soumise : Gwendoline.
3 Commentaires
Purpledream
9/12/2018 18:44:39
Votre texte m'a retournée... Où peut-on lire le témoignage de votre soumise, j'aimerais lire son ressenti et en effet c'est une battante
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Ethan
9/12/2018 18:50:09
Son texte sera à nouveau disponible sur son nouveau site que nous allons mettre en ligne cette semaine.
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Purpledream
9/12/2018 18:59:33
Merci pour votre réponse
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Auteur
Ethan, adepte du BDSM, dominant, explorant une philosophie humaniste au travers d'une pratique socialement en marge. Archives
Novembre 2023
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