Exploration le temps d’un week end sur la thématique de l’enfermement qui peut être pratiqué de diverses façons bien évidemment. On pense en premier lieu au bondage et au shibari. Il y a aussi les accessoires comme les enveloppes de latex qui ne laissent que deux trous aux narines pour respirer. Et d’autres comme les masques à gaz, les combinaisons de sudation et les brancards gonflables. Ce sont les adeptes de la claustrophilie. Le BDSM outre-Atlantique est très créatif dans ce domaine. Bien évidemment, il y a aussi les pratiques que je déconseille totalement comme le sac en plastique ou la pendaison murale. Nous atteignons là la sphère des risques trop importants. On confond à mon avis, la sensation de captivité avec celle de la mort. Donc, je vais me contenter de procéder à une captivité plus classique en passant par le territoire de la domination psychologique avec une petite touche d’asphyxophilie. Le but est de plonger dans un état cathartique en utilisant les outils d’humiliation et de peur. La légère différence entre bondage et captivité est l’état psychologique de la soumise. Dans le cas d’un bondage sophistiqué nous sommes dans la sphère de l’objectivisation. Dans le cas de la domination psychologique on serait plus dans la sphère animale. Animal dressé et obéissant. Des détails me direz-vous mais que j’aime à garder à l’esprit. Il est nécessaire de parler des risques. On pourrait croire que dans le cas d’un enfermement, il n’y a pas grand risque. C’est faux. L’apport d’oxygène doit être géré et cela sans l’aide de la soumise. Dans le cas d’hypoxie, la perte de connaissance est précédée d’une somnolence qui ne permet pas à la soumise de reconnaître son état. Ce qui la rend inapte à dire son safeword. Dans le cas d’une suppression d’oxygène brutale comme la strangulation, le rythme cardiaque peut s’accélérer et provoquer une perte de conscience immédiate (syncope vagale) ou une crise d’épilepsie. Cela ne m’est jamais arrivé. Mais mon conseil pour débuter est de faire des essais ultrasoft pour connaître le physique de la soumise. Prenons par exemple, au hasard, le cas de la Gwen à poil doux, de son nom latin Gallypigus Blondinum de la famille des Fellatio Profondis Hétero (je fais des boutures pour faire évoluer le modèle). Bref, Gwen est extrêmement sensible à la strangulation. Elle panique très vite. Pourtant, je lui fais régulièrement quelques étranglements de son cou gracile. J’ai très rarement serré jusqu’à l’empêcher de respirer. La plupart du temps la seule présence de ma main suffit à lui donner des sensations d’étouffement. Avec son accord, je l’étrangle doucement pour diminuer l’apport d’oxygène. Je suis extrêmement attentif. Ce sont des actions que nous entreprenons sur la longueur et qui sont devenues un rituel. Autre conseil : Vous pouvez entrainer votre soumise à respirer dans un sac en papier. Le fait de respirer une peu de son CO2 va diminuer son rythme cardiaque. Elle le fait en tenant le sac elle-même. Cela peut paraître un peu ridicule mais tout est question de décorum. Si avez peur de passer pour le gentil dom trop doux, vous lui dites que c’est pour la tester avant des épreuves plus dures, elle sera d’ores et déjà en panique en faisant l’exercice. Jouez au docteur : prenez son pouls avant, puis pendant et après. Vous verrez son temps de réaction. Mais c’est surtout durant la séance qu’il faut être attentif. Il ne faut pas hésiter à faire un check oral avec la soumise assez souvent. Surtout la première fois. Ensuite vous pourrez être plus directif . Concernant l’aspect mental. La domination psychologique est avant tout une question de souffler le chaud et le froid. Une soumise offre son obéissance. En retour elle a besoin d’être guidée et d’avoir confiance. Lui procurer des sensations peut se faire graduellement. Pour Gwen, durant les enfermements, je multiplie les checks oraux et visuels très souvent. Petit à petit j’espace les moments où elle est « seule » pour qu’elle puisse faire son chemin. A propos de ce chemin. Tout le monde s’est caché étant petit, souvent dans un endroit étroit. On se sentait au chaud, la vue était partielle, l’ouïe décuplée. On sentait son cœur battre très fort. On se sentait protégé…Sauf les personnes qui ont vécues des situations cauchemardesques et qui essayaient d’échapper à une personne maltraitante. Ce peut être réel ou inventé. Mais des souvenirs traumatiques peuvent surgir. Il est donc nécessaire d’expliquer à la soumise les notions de diminution du rythme cardiaque, de méditation et des effets éventuels dus à l’enfermement. On peut y croiser des pensées surprenantes. Allez, parce que je vous aime bien, je vous fais ma minute égocentrique sur les « anecdotes d’Ethan ». J’ai eu l’occasion d’enquêter sur le projet Stargate qui n’est pas la création d’une porte des étoiles, mais l’utilisation de médiums durant la guerre froide à des fins d’espionnage. Ces personnes étaient sélectionnées pour leurs capacités télépathiques à « sortir de leur corps » et à projeter leur esprit où ils voulaient et ramener des informations. Dans un de mes métiers précédent, j’ai eu l’occasion de tester ce protocole nommé « mind viewing » avec une réussite troublante. On se met en état de semi-conscience (transe, méditation, auto-hypnose, corps astral, appelez cela comme vous voulez) dans une pièce sombre et on vise un endroit géographique. On doit arrêter de penser pour laisser des sensations, des visions s’imprimer dans notre esprit. On peut retrouver des matières, des formes, des sensations de toucher, de son, voire des odeurs. Et donc, pour l’avoir expérimenté plusieurs fois, je vous assure que l’esprit peut partir très loin. Pour résumer : l’enfermement peut plonger dans des états de conscience parallèle. Soit une projection « en arrière » dans un passé qui peut être traumatique (et donc une régression). Soit une projection « en avant » certes moins blessante mais qui va faire sortir la personne en dehors de son rôle de soumission. Sans compter, si on est trop doux, la possiilité de voir sa soumise s’endormir. En conclusion, comme dans toute séance, il convient de préserver l’emprise mentale. La domination mentale a un objectif : plonger la soumise dans l’obéissance et l’animalité. Il ne faut pas qu’elle réfléchisse, qu’elle imagine. Elle doit abandonner ses capacités intellectuelles pour lâcher prise sans pensée tangible tout en gardant contact avec la réalité qu’on lui impose. Donc, après cette, comme d’habitude, trop longue introduction, évoquons les épreuves de Gwen. Week end à deux. Je vais la récupérer au train. Une fois dans la voiture je lui explique la procédure en gardant une part de mystère sur la fin : à chaque sortie d’autoroute, elle doit s’effeuiller d’un vêtement. Elle n’a aucune idée du nombre de sorties. Moi si. Si on veut parler domination mentale, vous avez l’un de ses préceptes : l’un sait, l’autre pas. Ce qui induit une notion de hiérarchie. De plus l’un ne sait pas que l’autre sait combien il y a de sorties. Donc, la soumise va se demander si je sais ou pas. Nécessairement, elle va espérer ne pas se retrouver nue avant d’arriver. Une tension s’installe. On peut très bien jouer avec un timing par exemple : une alarme qui sonne toutes les 5 mn. Ou plus joueur : elle doit s’effeuiller à chaque voiture verte que l’on croise ou chaque poids lourd que l’on dépasse. Donc ma soumise commence à se déshabiller. Nous sommes encore à 10 kilomètres de la maison qu’elle est déjà nue. Je l’autorise à se couvrir de son manteau comme couverture. Elle sait que la prochaine sortie est la nôtre et commence à se décontracter. Malheureusement pour elle, je rentre sur une station-service. Je roule lentement le long des parkings de poids lourds. Elle se cache sous son manteau. Nous dépassons le parking et je m’arrête sur une partie sombre de l’aire. Je sors, fais le tour et ouvre sa porte lui ordonnant de sortir sans son manteau. Apeurée elle sort en regardant de tous les côtés. Il fait très froid, je lui indique donc de me suivre derrière la voiture. J’ouvre le coffre. Elle découvre une couette.
Elle saute dans le coffre. Je deviens très doux en la couvrant entièrement avec la couette. Je lui donne son téléphone.
Je reprends la route prudemment et à vitesse modérée, évitant les virages serrés et autres nids de poule. En parlant normalement ma soumise m’entend et réciproquement. Je vérifie ainsi son état. A savoir que transporter une personne dans son coffre est hors la loi. En cas de contrôle de police, même si le kidnapping ne sera pas retenu, il restera toujours une contravention de classe 4 et un entrefilet dans le journal local entre l’apéro de l’amical du club de bridge octogénaire et la recrudescence du vol des plantes vertes dans les cages d’escaliers. Coté sécurité : certaines voitures peuvent être assez hermétiques. Il convient de vérifier l’apport en oxygène. A contrario, d’autres véhicules plus anciens peuvent laisser passer des gaz d’échappement ce qui est encore plus dangereux (confère les risques d’hypoxie). Donc, si vous voulez essayer ce trip, agissez en connaissance de cause et ne laissez pas votre soumise très longtemps dans le coffre. D’autant plus que de par la privation des sens, la soumise peut trouver le temps suffisamment long et avoir son lot de sensation de rapt tout fait satisfaisant. J’arrive non loin de la maison et je bifurque sur un petit chemin. Je m’arrête en pleine campagne à l’orée d’un champ. J’éteins le moteur et sors. J’attends quelques instants supplémentaires pour amplifier la tension puis j’ouvre le coffre. Elle est emmitouflée dans la couette. Elle sait que nous ne sommes pas chez moi.
Je l’amène au milieu du champs et lui ordonne d’uriner devant moi. Elle a pris l’habitude de pratiquer cela depuis assez longtemps et rapidement sa petite pluie dorée arrose l’herbe. J’accentue sa situation de dénuement :
Je décide de stopper la séance car je ne veux pas que ma soumise prenne froid. Elle semble déçue car elle avait certainement planifié de me faire jouir. Je l’incite à se relever et la ramène vers la voiture. Je lui ordonne de placer ses mains sur le capot et de tendre sa croupe. Je lui donne une belle petite fessée pour faire circuler le sang. Entre ses fesses rougis et la chaleur du capot, cela devrait la revigorer. Bien évidemment, je ne résiste pas à l’envie de la prendre et pénètre sa petite chatte humide et chaude. Bientôt mes coups de boutoir s’intensifient et ses mains glissent. Elle se retrouvent allongée sur le ventre sur l’avant de la voiture. Je l’insulte gentiment lui rappelant sa condition de pute soumise au service de son maître. J’agrippe ses cheveux, m’accroche à ses hanches, frappe son cul en la défonçant. Elle sent ma verge gonfler prémices de la jouissance et se cambre encore plus pour m’accueillir. Je jouis en elle pour la récompenser.
Je la fais monter à l’avant et lui enfile son bandeau sur les yeux. Je reprends le volant. Nous serons à la maison dans 5 minutes. Je sais qu’elle n’a pas jouis et la suite de la soirée sera tout aussi intense. Une fois à la maison, je ne lui laisse pas la possibilité de sortir de sa bulle. Toujours aveugle, je la guide sur les escaliers et au travers des pièces et je l’attache sous une poutre, poignets et chevilles écartés. Je lui fais boire un peu de son soda préféré. Nota sur la DM (DM pour Domination Mentale et pas Depeche Mode. Pourtant c’est la version extraordinaire de François Kevorkian de Personnal Jesus Pump Mix qui tourne dans mes oreilles au moment où j’écris ces lignes) : il faut à la fois toujours faire attention à la santé physique de sa soumise mais la nourrir a aussi l’effet d’accentuer la dépendance. S’ensuit une séance de cravache et martinet. Enfin, je termine à la cire. Elle est épuisée. Je la détache pour la déposer au chaud sur le lit. Pendant qu’elle redescend doucement de sa trance, je vais chercher à manger. Elle se restaure un peu. Elle pense être à bout de force mais je veux lui démontrer que toute cette aventure a des avantages. Je me glisse entre ses cuisses et lui procure un long et intense cunnilingus. Elle est très étonnée de l’intensité et la rapidité de la jouissance qui monte en elle. Elle, si silencieuse par habitude, se met à gémir sans retenue. Elle est emportée par un orgasme puissant. Elle a à peine la force de m’avouer son étonnement qu’elle s’endort déjà. La leçon de cette expérience est qu’il n’est pas nécessaire d’être dur dans l’impact ou les insultes. La longueur de la préparation est comme un long préliminaire qui permet d’arriver à un état sexuel débridé et puissant. L’originalité, la durée, la succession d’épreuves diverses permettent l’accès à des trésors de jouissance. Le lendemain à sa demande, nous expérimentons la suffocation contrôlée par étranglement et d’autres manières que j’estime sadique. Comme par exemple le fait de l’embrasser à pleine bouche, lui bloquer la nuque et lui pincer le nez pour l’empêcher de respirer. Il y a tout d’abord le plaisir du baiser bien évidemment mais surtout les sensations de panique comme si j’étais dans son corps. Sa langue et son cœur s’affolent dans une recherche désespérée d’air. Son seul moyen est d’ouvrir la bouche en grand pour tenter d’aspirer un peu d’oxygène entre nos lèvres scellées. C’est très plaisant. D’autant plus que cette proximité permet d’éviter un éventuel accident d’apoplexie car on est en contact direct avec ses signes vitaux. Je déconseille par contre d’essayer la respiration dite artificielle. Geste bien connu des secouristes, mais qui ne peut se faire correctement que quand la personne a perdu connaissance. Si la victime est en recherche d’air on peut se tromper et envoyer du gaz carbonique au lieu de l’oxygène alors que l’autre aspire goulument. L’expérience se tente donc dans un seul sens : la privation d’oxygène en comptant le temps et en faisant attention aux signes vitaux. En lieu et place du safeword, nous avons mis en place un code : taper trois fois sur le dos de ma main car les gestes ou elle se débat ne peuvent compter comme une demande d’arrêt. Cette séance de préparation, répétée et interrompue par des moments de reprise de respiration peut durer un bon quart d’heure. Le résultat va être double. Le corps va puiser dans chaque molécule d’oxygène pour alimenter le cerveau. Car dans le cas d’un manque d’oxygène, le système de défense va court-circuiter les organes les moins importants pour alimenter les vitaux comme le cerveau. Reste que la baisse d’alimentation va aussi produire un effet analgésique et un état de flottement avec le rythme cardiaque qui baisse. Je réitère : ne pratiquez pas cela de but en blanc comme une brute. Il faut une partenaire totalement consentante et consciente des effets. Au bout d’une quinzaine de minutes de cette procédure mélangeant amour passionnel et privation d’oxygène ma soumise est totalement docile. Je l’a fait mettre à quatre pattes et la promène au gré des couloirs pour l’emmener jusqu’à un placard étroit dans une pièce obscure. Un tapis moelleux est sur le sol. Elle n’a la place que pour se positionner en chien de fusil. Je lui redemande comment elle se sent. Je prends son pouls et lui rappelle les consignes de sécurité. Le placard n’est pas fermé à clé et elle peut s’en extraire si elle ne se sent pas bien. A ce moment plusieurs possibilités sont offertes. Si la soumise est expérimentée dans cette pratique, on peut l’enfermer vraiment. On peut aussi faire le contraire jusqu’à lui laisser un téléphone et une bouteille d’eau. On peut aussi diriger le sujet qui va l’orienter dans sa rêverie. Par exemple on peut scénariser une petite fille qui a fait une bêtise et qui est punie pour induire une régression. Je rappelle que la régression est là aussi un thème délicat qui demande psychologie et une parfaite connaissance des traumas éventuels de sa soumise. Ce n’est pas seulement du jeu de rôle. Si on décide d’induire une régression, il est obligatoire de la finaliser après et surtout de la faire remonter à la réalité avec précaution. Dans l’idée d’une petite fille qui aurait été punie, il faut que la prise de conscience finale soit une réparation et une conclusion qui est que la petite fille n’est pas responsable ni de sa faute, ni de sa punition. Il ne faut pas la laisser dans sa sensation de trahison ce qui pourrait prolonger le trauma. Le but est d’opérer un nettoyage. Et enfin de bien faire revenir la soumise à la réalité dans son corps et esprit de personne majeure. Dans le cas de Gwen, je choisis de n’induire aucune piste en jouant seulement sur la notion d’abandon en lui disant que je vais prendre une douche et qu’elle ne doit pas bouger. Cela devrait suffire à générer quelques frissons d’abandon. Je quitte la pièce. En fait, je ne prends pas de douche. Je fais du bruit et fait couler l’eau (je sais ce n’est écologique) mais je reste près de la porte pour surveiller. Au bout d’un moment où je constate que tout semble bien aller, je vais effectivement prendre une douche militaire. La douche militaire c’est 3 mn : 1 mn de savonnage, 1 mn de rinçage, 1 mn de séchage. Je reviens vers le placard et j’ouvre la porte. Elle semble tranquille. Je vérifie son pouls et d’éventuels signes d’une tristesse accrue. Elle vient d’essuyer ses larmes. Au fond de moi j’ai le cœur brisé et j’hésite à arrêter la séance. Mais elle me dit que tout va bien et qu’elle ne sait pas pourquoi elle pleure. Je suis intérieurement partagé. Ce sont toujours des moments difficiles. Je me rappelle mes propres phrases pour m’encourager : quand on est au milieu du gué, il faut finir de traverser. Elle doit aller au bout d’elle-même. Alors je joue mon rôle de méchant dominateur : je lui ordonne de se mettre à genoux sans sortir du placard. Je lui enfourne ma queue encore humide dans la bouche et lui impose une gorge profonde. Je me retire et l’enferme à nouveau. Vue que physiquement elle semble bien aller, il m’est alors possible d’accentuer l’animalisation en pute de placard. Je vais faire des allers-retours par intervalles plus ou moins long (entre 5 et 10 mn). A chaque fois pour l’insulter, la dominer mentalement et abuser sexuellement d’elle. Une fois en levrette ou elle ne sort que son cul du placard. Une autre pour une fellation, coups de cravache, martinet. Petit à petit je vais aussi lubrifier son cul puis repartir pour la laisser angoisser sur le fait qu’à ma prochaine visite son anus sera sollicité (une des limites de ma jolie soumise presque parfaite). Je vais revenir et lui doigter son cul et repartir. Un autre tour et ce sera une pénétration vaginale tout en lui ouvrant le petit trou et le relubirifant. Je finis par lui insérer un plug anal. Puis ce sera des menottes, enfin un sextoy. Au bout de 10 allers-retours, la soumise est cuite à point. C’est le même principe que la cuisson parfaite de la volaille que font les grands chefs (le 4X20). Vous cuisez votre volaille sur la cuisse en premier pendant 20 mn. Puis vous la sortez sur la porte du four pour la laisser reposer durant 10 mn. Vous changez la position sur l’autre cuisse pour 20 mn. Repos 10 mn. Changement de position, etc… Une cuisson fractionnée longue mais parfaite car les sucs et le jus envahissent toutes les chairs. Donc ma soumise volaille en 6X10 devient parfaite pour la consommation. Dans le cas qui nous intéresse, cette séance est suivie par un bondage sur table avec barre d’écartement. Délicieux pour les yeux et le palais. Une levrette sur le lit tout ce qu’il y a de plus classique en guise de dessert finit de ravir la soumise ainsi récompensée. D’autres activités ponctuent le week end sur le même thème comme le fait de la menotter à une barrière avec moi faisant des d’allers-retours pour diverses activités d’ordre bucco-génital . En debrief, nous sommes revenus sur ses sensations sur toutes ces séances. Si le coffre de voiture fut une épreuve de peur, celle du placard lui avait tiré des larmes sans régression ni souvenirs précis. Elle pleurait juste avec une forte impression d’abandon. C’est une de ses blessures. Honnêtement, je ne suis pas assez calé pour affirmer que des séances basées sur l’abandon soient réparatrices. Mais le fait que l’on finisse sur une note positive, voire jouissive, est en tout cas salvatrice. Le meilleur indice est le fait est qu’elle soit volontaire pour le refaire. Je prends du recul sur toutes les aventures que ma soumise et moi vivons depuis maintenant 2 ans. Et je vois son évolution. Il nous reste de nombreuses choses à réaliser mais je suis terriblement fier de notre relation où, définitivement, notre façon de nous aimer sort du cadre normatif avec des ravissements aussi originaux que profonds. Ethan Fiche cuisine LA SOUMISE EN 6x10 A l’instar de la cuisson parfaite des chefs on peut préparer sa soumise (ou son soumis) en fractionné 6X10. Comprendre 6 minutes de séances ponctuées de 10 minutes de mise au placard, attachée ou non. Ingrédients :
Préparation : 5 mn Plumez la soumise et installez collier et laisse. Faites la marcher à quatre pattes jusqu’au placard que vous aurez préalablement placé dans le noir. Installez la soumise dans le placard avec éventuellement une gamelle d’eau puis refermez en laissant un peu d’air. La recette à proprement parler : Laissez mariner la soumise 10 mn en surveillant la cuisson. Puis ouvrez la porte en exigeant qu’elle se mette à genoux. Faîtes lui prodiguer une fellation durant 6 mn. Refermez la porte. Laissez mijoter 10 mn et revenez pour 6 mn de séances : impact, lubrification anale, insertion de plug, sextoy, pénétration… Au bout d’une heure vérifier la cuisson : le sexe doit être humide et la soumise docile. Si vous la désirez bien cuite, vous pouvez remettre 2 séances supplémentaires comprenant urophilie. Variantes : si vous recevez des amis, vous pouvez les envoyer faire des séances de fellation toutes les 10 minutes.
3 Commentaires
Galathee
29/5/2019 10:21:07
Bonjour et chouette séance....qui me rappelle la première fois où mon ancien maître m'avait enfermé dans une des nombreuses pièces de sa cave.
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ethan
29/5/2019 11:22:31
Intéressant. Quel genre de berceau de Judas ? Un double pente simple ou une pyramide ? Et combien de temps ?
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19/7/2019 17:15:59
Super article merci pour les idée madame va s'amuser ce soir
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Auteur
Ethan, adepte du BDSM, dominant, explorant une philosophie humaniste au travers d'une pratique socialement en marge. Archives
Septembre 2024
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