![]() J’ai rencontré une femme dont le port altier et la physionomie est très proche de Cersei (rousse, sombre manipulatrice, mère du roi des 7 couronnes dans Game Of Throne) jouée par Lena Headey (brune dans la vraie vie). Cette femme est même encore plus belle avec son nez droit, des yeux en amande et des lèvres fines. Ses cheveux bruns courts, ses petits seins fermes, son cul rond et son aura lumineuse. Ce cou royal, ces mains et ces pieds si bien dessinés. Le tout relié par des courbes fines et harmonieuses. Et si vous vous précipitez pour trouver une photo de l’actrice pour avoir une idée, sachez que cette femme n’a pas cet aspect taciturne, machiavélique ou torturée de la reine Cersei. Au contraire, c’est un oiseau virevoltant au dessus de la grisaille qui attire les rayons du soleil pour étinceler. Elle ne pourrait jouer qu’un rôle de reine blanche et positive. Ce n’est pas son physique qui m’a attiré chez elle en premier lieu. Elle même ne s’aime pas physiquement. Pourtant, elle est d’une beauté rare. Autant de par le cœur que de par son corps. 2016
Je communique depuis quelques semaines avec Cerseï. Une vanille de 45 ans. Extrêmement charmante il faut le dire. Mince, grande, brune. Mais ce n’est pas son physique qui m’a interpellé mais sa détresse. Pourtant me débattant moi-même dans ma propre vie, je n’ai pas besoin d’une fille avec des soucis. Je souhaite plutôt les femmes libérées dont les expériences font qu’elles croquent la vie à pleine dent. Cerseï est au point mort. Proche du burn out. 3 enfants à charge, sans famille, sans petit ami qui la soutiennent. Et ce malgré une intelligence et une force qui la maintient debout faire à ses responsabilités. Je reconnais très vite ses symptômes qui ont été les miens et nous communiquons sur son état et les solutions possibles. Ma bienveillance pourtant désintéressée la touche. Au bout de quelques jours, elle m’écrit soudainement « viens me faire l’amour ». Je suis touché, mais faire l’amour dans ces circonstances était, dans mon esprit, abuser d’une femme en état de faiblesse. Je lui dit oui mais pas maintenant. Reste que faire l’amour est aussi un bon remède. A la fois physiologiquement mais aussi pour reprendre le contrôle de soi. Mon esprit pervers a reprit le dessus. Comme à chaque fois, les femmes que je croise m’inspirent. Chacune un peu différemment. Mais mes fantasmes sont souvent les mêmes. Dans son cas, j’écris un scénario qui se résume comme suit : « Tu te rends dans cette chambre d’hôtel les yeux bandés. Une fois à l’intérieur, sous mon injonction, tu te déshabilles devant moi. Allongée sur le lit, je te prodiguerais un massage ou aucune parcelle de ton corps ne sera oubliée, ni par mes mains, ni par ma bouche. Ce sera un moment d’extrême douceur pour toi. Je te ferais jouir avec ma bouche tout d’abord… ». Le scénario était très explicite et expliquerait avec force de détails tout ce qui allait se passer comme une nouvelle érotique. Sa réponse fut courte « c’est bien écrit, c’est excitant, j’ai envie de le faire » avec une seule exigence : « pas de sodomie. J’ai été violée comme ça. » Quelques détails à mettre en place Et un rendez-vous est prit. Je prends possession de la chambre. J’ouvre une bouteille d’un St Emilion 2012 pour qu’il s’aère (c’est la boisson qu’elle avait choisit). Quelques bougies à la senteur de thé vert pour s’accorder avec l’huile de massage. Et la salle de massage sensuelle est prête. Elle est en retard. Normal. Durant ces instants trop longs, outre la petite angoisse qu’elle ne vienne pas du tout, je me remémore la personnalité de cette femme. Par quelques phrases, elle m’a déjà donné son parcours sans trop de détails. Ces explications venaient souvent par moment de crise où elle criait ses angoisses de manière sibylline : Une vie douloureuse dès le plus jeune âge avec des parents indignes. Un premier mari qui lui a fait trois enfants et qui les a abandonné du jour au lendemain. Plus tard, un petit ami violent qui abusait d’elle de diverses façons. Une maladie qui attaque sa colonne vertébrale (et qui demanderont donc de faire très attention). Un viol…Un état des lieux d’une vie sous le signe de la violence. Et pourtant, d’autres moments montraient d’elle une extrême sensualité, du dynamisme, une ouverture à des désirs qui sortent de l’ordinaire. Il n’est donc pas question d’évoquer une relation totalement D/s puisque nous ne nous étions pas connu sous cet hospice et qu’elle ne connaît pas cette facette de moi. J’agis cependant comme un gentil amant un peu dominant. Un rôle que j’ai joué très longtemps où je mettais en avant gentilles perversions et imagination. Disons le tout net : du vanille épicé. Mais c’est ce à quoi elle aspire et je suis heureux de pouvoir lui offrir un moment de douceur. On frappe à la porte. Je l’entrouvre sans me montrer. Elle dit dans un souffle et avec un sourire : - Je ferme les yeux. Elle n’a pas osé enfiler son bandeau en raison de la proximité du personnel de l’hôtel. Je la prends par la main pour l’aider à entrer. Elle parait étonnement détendu. Elle m’avait pourtant prévenue qu’elle risquait de ne pas parler. Debout à l’intérieur de la pièce, je prend un bandeau et le lui place sur les yeux. Puis je l’aide à s’asseoir sur le lit. - Ca va ? - Oui, je ne suis pas nerveuse. Je suis simplement contente d’être là. Je lui porte un verre de Bordeaux. Elle goute et semble l’apprécier. Elle est vraiment très belle. Un port de tête altier, un long cou gracile sur de belles épaules. Des cheveux très courts, une mâchoire carré mais féminine et des lèvres minces. Elle porte une longe robe hippie chic et un long collier de perle avec une croix. Des spartiates plates dorées. Ses bras son fins, ses mains graciles. Elle est mince. Gracieuse jusqu’au bout des ongles. Un charme à la fois de femme de tête et de nymphe fragile. Elle sirote son verre. Je m’approche d’elle et lui embrase tendrement le front puis ses lèvres. Sa bouche s’ouvre de suite et une langue vorace se mêle à la mienne pour un baiser fougueux. Quelle belle entrée en matière. Je quitte ses lèvres pour embrasser ce cou magnifique. Je fais attention de ne pas être trop brusque car je ne connais pas encore l’état de ses cervicales. Cela reste dans mon esprit. Du sexe oui, mais avec attention. Elle semble apprécier mes lèvres dans son cou et soupire un peu. Mes mains parcourent son dos, glissent sur ses hanches. Si je continue la situation pourrait vite s’emballer. Elle ne dirait certainement pas non. Mais je tiens à suivre mon plan. Je me mets à genoux en faisant glisser mes mains le long de ses jambes. Pour finir de tester sa motivation, je passe mes mains à l’intérieur de ses cuisses et les incites à s’écarter. Elle comprend de suite et elle se positionne pour s’offrir. Oui, définitivement, elle est motivée et prête à profiter de ce moment. Ma main glisse sur son entrejambe sans que je la quitte des yeux. Je ne touche pas son sexe mais flatte cette peau à l’entrejambe qui est si douce chez toutes les femmes. Sans s’en apercevoir, elle se mord un peu la lèvre tout en souriant. Mes mains descendent le long de ses jambes. Cuisse ferme, chevilles fines, pieds magnifiques. Je ne suis pas un foot fetish, mais force est de constater que quelques aficionados se pâmeraient devant eux. Je lui défais ses spartiates. Tout est calculé dans mon esprit. Ce geste est là pour la mettre à l’aise mentalement, même si elle n’en a apparemment pas besoin. - Viens. Lèves toi. Ma voix est douce mais assurée. Elle me suit docilement. - Je souhaite que tu te déshabilles. - Entièrement ? - Commence, je verrais. Ni une, ni deux, elle soulève sa robe et l’enlève en 2 secondes. Je la récupère et la met sur la chaise. J’aurais apprécié qu’elle le fasse plus lentement. - S’il te plait, j’aimerais que la pièce soit sombre. - Elle l’est. - Je n’aime pas mon corps. Même si on me dit que je suis bien foutue. - Je vais juger par moi même. - J’enlève mon soutien gorge ? - Oui. Elle est maintenant debout devant moi, droite, les pieds bien à plat. Sans trop de pudeur. Je m’approche et lui enlève son collier. Elle ne bouge pas. Je la frôle. Elle sait que je la regarde sous toutes les coutures. - A la réflexion, met toi entièrement nue. Le tanga disparaît en une seconde. Trop vite. Mais je peux m’empêcher d’être subjugué par cette femme. Je réalise la chance que j’ai et je vis ce moment à fond. Elle est nue, magnifique, les yeux bandés, offerte et dans l’attente d’instruction. La partie de mon cerveau qui réfléchit se demande toujours comment la personne aux yeux bandés vit la situation. Si le temps paraît long alors qu’il n’y a que quelques secondes. Combien c’est excitant d’être offerte à la vue de l’autre. J’effleure d’un doigt les courbes de son corps. Son cou, son épaule, son bras. Mon doigt saute d’une zone à une autre comme un jeune mouton heureux. Ses reins, une fesse, la cuisse. Sans me coller contre elle, je la frôle aussi de mon corps pour qu’elle sente ma présence, habillé. Je la touche de mon sexe qui a un bon début d’érection. Elle le sent de suite et cela lui fait de l’effet. Avec d’autres femmes plus enclines à la soumission, je fais durer. Mais dans son cas, j’insiste sur le fait que malgré qu’elle soit offerte, c’est elle qui doit être choyée. - C’est ton moment à toi maintenant. Je la pousse doucement sur le lit et elle s’installe sur le dos. Elle écarte les bras, et ses cuisses sont semi écartées. Je me déshabille pour être plus à l’aise mais n’enlève cependant pas mon caleçon. La aussi, dans ma tête, c’est le symbole que je ne suis pas accessible alors qu’elle l’est. Des gouttes d’huile tombe sur son ventre, lui arrachant un petit soupir d’aise. Mes glissent sur sa jolie peau un peu halée. - Ce n’est pas un massage de kiné. C’est en douceur. Californien comme on dit. - Cela me convient très bien. Je trouve une première cicatrice en bas de son ventre. Je l’embrasse tendrement. Je lui avais dit « j’embrassais chacune de tes cicatrices, je ferais fuir chacune de tes peurs. J’apaiserais les stigmates de tes blessures et attiserait tout ton corps comme un lieu dédiée à ton plaisir. » Elle a de jolis petits seins très fermes. Je caresse ses mamelons puis les suce. Je parcours tout son corps. Quelque fois en silence pour lui faire apprécier l’action, quelque fois en parlant pour lui dire combien elle est sublime. Je porte une attention particulière à son cou, ses épaules. Mes pensées sont « pars sale douleur, laisse la place au plaisir ». J’entrouvre ses cuisses et n’y pouvant plus, je la goute. Elle était impatiente et se cambre en s’offrant largement. Elle en meurt d’envie. Mais je ne reste que quelques secondes. Juste pour faire monter le désir. Glisser ma langue entre ses belles lèvres, dénicher un petit clitoris pour lui dire bonjour. Je la lape doucement et elle a commence à soupirer, agripper les draps. C’est le signal pour moi de quitter ce beau sexe. Certainement sadique de la laisser en pleine envie. Je descends le long de ses jambes et je masse ses pieds un peu plus fermement. Les pouces sur les lignes de réflexogie que j’avais révisé. Comme je l'ai dit, je ne suis pas un foot fetish, mais quand je dis "chaque parcelle du corps", je m'y tiens. C'est du sexe, de la sensualité, mais c'est aussi une quête d'absolue. J'ai suce donc ses jolis orteils un par un, passe ma langue comme si c'était le sillon de son sexe. Elle soupire d'aise. Je ne sais pas si elle a des pensées précises et salaces d'avoir un homme qui lui suce les pieds mais elle y prend un plaisir non dissimulé. Je remonte entre ses cuisses, je me place bien cette fois pour lui prodiguer un cunnilingus. Je la fais monter doucement. Des vagues de plaisir traduites par son bassin qui ondule. Elle commence à crier, elle agrippe les draps. Je lui prends une main et la serre très fort. On se caresse les mains, les poignets. Comme un lien supplémentaire de notre union. Ma langue rentre dans on sexe. Remonte vers son clitoris. Je n'ai pas encore introduit de doigts. Je veux que ce soit une petite jouissance seulement clitoridienne. De mon autre main je lui caresse les fesses amplifiant ses ondulations. Elle m'encourage avec des "oui" francs, qui montent en décibel, je lui attrape l'autre main. Ainsi bloqué je commence un mouvement profond et régulier entre l'entrée de son sexe et son petit bouton. Elle m'annonce qu'elle va jouir, lache ma main pour la mettre sur ma tête. Je ne sens pas de palpitations particulières de son vagin mais ses soubresauts me donnent l'indice qu'elle jouit. Elle soupire, se relaxe. Je sais que ce n'est qu'une petite jouissance. Je prend mon temps pour la prolonger cependant en la léchant de plus en plus doucement sans trop titiller le clitoris sensibilisé. Je remonte près d'elle. Elle m'embrasse presque amoureusement me prenant dans ses bras. Un long baiser d'amants. Mais l'autre moitié du massage n'est pas encore faite. Et je intime l’ordre de se retourner. Je lui enlève le bandeau car elle transpire. Elle me réitère qu'elle n'ouvrira pas les yeux. Je l'embrasse, lèche sa transpiration. Puis à nouveau mes mains et l'huile de massage entrent en œuvre portant une attention particulière à son dos, détectant les endroits plus durs que d'autres. Sa colonne est raide. Une vilaine cicatrice en bas qui ressemble à une charnière avec des marques de croix. Je lui en parle, lui dit que je la vois, que c'est le symbole de ses douleurs mais aussi synonyme de force car elle a su les endurer. Elle me répond que ça ce n'est rien. Qu'elle a des plaques, des vis, sur la colonne. Cela pourrait être un vrai tue-l'amour. Mais il n'en ait rien. Je me sens apte à accepter toutes ses cicatrices, physique ou psychologique. Je suis débile car la phrase du Général de Gaulle passe dans ma tête "Cerseï martyrisée, Cerseï humiliée, mais Cerseï libérée…." Je sais, ce n'est pas glamour. Mais dans ces moments d'intensité sensuelle, tout se mêle. Le sexe, l'amour, l'intellect. J'agis et je pense, je profite de l'instant et en même temps je prends du recul en de grands flashs. J'embrasse cette cicatrice et je remonte sur ses épaules. Je l'embrasse autant que je la caresse ou la masse. Je sens qu'elle n'est plus sur la planète terre. Pour la faire revenir à une certaine forme de réalité, j'enlève mon caleçon. Elle ne s'en aperçoit pas tout de suite. Mon sexe dans une belle érection vient battre sa joue. Elle réagit de suite et le gobe avidement. La position est inconfortable mais elle aime ça. Est-ce par soucis de me faire une belle démonstration ou pour se perdre dans le stupre mais elle tend son cou pour avaler ma queue entièrement. Avec toute cette excitation et cette magnifique fellatrice, je ne peux pas tenir. Je me retire. - Merci. Tu es une excellente suceuse mais le massage n'est pas terminé. - J'aime sucer, j'ai envie de le faire. Donne moi ton sexe, me répond-elle essoufflée et toujours les yeux fermés. Je l'embrasse. - Pas tout de suite. C'est d'abord toi. Je sais ce qu'elle pense "ta queue dans ma bouche, c'est aussi mon moment". Mais je redescends sur ses jambes. Cette fois je passe moins de temps car je les ai déjà bien parcourues avant. Je monte sur elle. Elle sent mon sexe tendu qui glisse vers son sillon. Elle se cambre pour que je la prenne. Mais la encore, ce n'est pas mon objectif. Je lui caresse les fesses, les embrasse et les lèchent. Ma langue glisse dans le sillon de ses fesses. Je les écarte pour découvrir son joli petit trou. Je réitère ma promesse : - On a dit "pas de sodomie", nous sommes bien d'accord ? - Oui, pas de sodomie. - Mais nous n’avons pas dit "pas de coups de langue". Elle murmure quelque chose que je ne comprends pas mais qui ressemble à une approbation. - Ne t'inquiètes pas, tu vas adorer. Et je commence à lui donner le meilleur de moi-même avec ma langue sans restriction. J’enfonce ma langue dans son petit trou qui s’ouvre, s’offre. Elle a un râle de plaisir. - C'est bon, putain, que c'est bon ! Je lui malaxe les fesses, descend sur son sexe et remonte sur son anus. Je la pénètre de ma langue. Elle ondule et en veut plus. - Sodomises moi. S'il te plait. - Qu'entend-je ? - S'il te plait, je veux que ce soit toi. Apprends moi. La je fais une pause mentalement. Ok, je prends du plaisir depuis le début. Mais la c'est le Graal. Je la lèche encore puis je remonte vers son visage. Elle m'embrasse goulument. Mon doigt a remplacé ma langue auprès de son anus. Elle se cambre pour montrer son approbation. - C'est bien. Il faut que tu réapproprie ton corps. Que tu prennes du plaisir partout. Elle est en transe. Elle ne comprend pas tout ce que je dis. Je récupère un peu d'huile de massage sur le bas de son dos et pénètre mon doigt dans son cul. Elle feule. Le plus doucement possible j'explore, vais plus loin. Elle s'agrippe à moi, bloque sa bouche contre mon avant bras pour atténuer ses cries. - Continues ! dit-elle d'une voix étouffée. Je mets un second doigt qui rentre sans problème. Elle devient folle. Mes deux doigts libres branlent son clitoris et je commence un mouvement profond et puissant dans son cul. - C'est bon, c'est bon !!!! J'enlève à nouveau mes doigts et n'en présente qu'un seul à l'entrée de son petit trou. - Tu sens mon doigt à l'entrée. Vas le chercher. Elle se cambre, change d'angle pour aspirer mon doigt avec son cul. Elle soupire. - Encore plus loin. C'est comme ça que tu diriges. Prend le au fond. Elle soupire à chaque coup de reins. - Sens, je te mets un autre doigt. - Ouiiii - Et maintenant un troisième. - Oooooh, c'est fou….C'est tellement bizarre. J'adore. Je me sépare de son visage et redescend sur sa croupe. Ma main passe sous son bassin pour s'occuper de son bouton. J'enlève mes doigts et je la re-pénètre de ma langue car je sais que désormais qu'elle adore ça. Puis mes doigts la sodomisent à nouveau. Son cul est ouvert de belle façon. Elle est faite pour ça. Deux doigts de mon autre main explorent sa chatte. Je découvre une jolie zone G qui ne demande qu'à gonfler. Je me dis que je m'occuperais de ça un peu plus tard. Pour l'instant sa croupe est totalement abandonnée à mes doigts enfoncés de toutes leurs phalanges et ses cris presque rauques m'indiquent qu'elle adore. Je commence à accélérer très fort. Son corps bondit, son cul s'ouvre et palpite. - J'ai envie de jouir. Prend moi. - Jouie comme ça. - Oui, oui. Elle m'excite tellement que si je la sodomise, je ne tiendrais pas 30 secondes. Je décide de continuer pour son grand plaisir. Une jouissance ne tarde pas. Elle se crispe et s'écroule. J'enlève mes doigts et la caresse doucement. J'ai une érection presque douloureuse tellement je suis sous excité. A ce point de la lecture, vous vous demandez pourquoi je raconte cela de manière presque technique. Surtout si vous êtes une femme. Il faut savoir que derrière le mâle dominateur, se cache une sensibilité exacerbée. Un mec toujours estomaqué par les prouesses des femmes. Cette capacité de se transformer de femme rangée à aventurière, d'aventurière à salope tout gardant une aura de déesse. Je suis obligé d'analyser sinon je me fais happer par ce maelström. Mais la je n'en peux plus. Je présente mon sexe devant sa bouche. Sans aucune hésitation elle avale ma queue avec fougue. Et cette fois, elle n'a pas l'intention de la lâcher. Elle suce divinement. A la fois déchainée et douce. Je gonfle au bord de l'orgasme. Je me retire de force. - Mets toi en levrette. Elle me présente sa belle croupe. J'ouvre un préservatif et l'enfile. Grrr…Mes mains encore huileuses ne font pas bon ménage avec le lubrifiant du préservatif et je n'arrive pas à le tenir pour le dérouler. Je me débat et y arrive enfin. La croupe de la déesse est toujours offerte. Je la prends et c'est pourtant moi qui me sens happé. Elle soupire. Son vagin se resserre. - Mon dieu comme tu es serrée. - Oui, j'ai un périnée extrêmement tonique, dit elle entre deux râles. - Oh oui, un bon périnée de salope. Au moment où je dis ces mots, je me dis que je viens de faire une gaffe. Que la traiter de salope va tout faire écrouler. Mais au contraire son "oui" est plus fort. - Ha, tu es une salope en fait. - Oui, je suis une salope. Elle scande et donne des coups de reins à chaque mot. Je tente une petite fessée particulièrement douce. Comme si je n'avais pas fait exprès de laisser tomber ma main. - Oooh oui. Une partie de moi s'enflamme et je commence à lui donner de bons coups de queue. Une autre partie de mon cerveau sourit de satisfaction en ayant parié qu’elle a le potentiel d’être une bonne soumise. Je suis joyeux de permettre à cette femme d'exprimer ses envies naturelles si longtemps réprimées. Donc le mâle reprend le contrôle et décide de faire jouir à nouveau la déesse. Je continue des vas et viens réguliers, glisse un pouce dans son anus qu'elle accueille avec joie et commence une série de fessées tout en la traitant de belle salope, de petite chienne. Elle grimpe au plafond. - Oui, je suis une salope. Je suis faite pour le sexe. Je suis bonne pour ça. Je sens que je vais craquer avant elle. Je transpire. Je dois absolument ralentir. Elle le sent et en demande encore. Je puise dans mes dernières forces pour reprendre. - Passe ta main sous ton ventre. Branle ton clito de salope. Elle s'exécute. - Tu es une magnifique salope. Tu te sens bien la à branler ton clito, ma bite dans ta chatte et un doigt dans le cul. - hmmm oui. Je suis une salope. - Tu vas jouir, petite chienne, tu vas jouir fort. - Oui, je sens que je vais jouiiiiir…. Elle est prise de soubresauts. Sa main massant en de longs mouvements son pubis. Son autre main prête a déchirer les draps. Son périnée me serre tellement qu'il retient ma jouissance. C'est une bonne chose. Elle mord l'oreiller pour ne pas hurler. Je me remets près d'elle. Elle semble épuisée, presque groggy mais dans un réflexe, elle m'embrasse tendrement. - Pourquoi tu n'as pas jouis ? - Par principe. Je voulais que tu sois sur que ce soit ton plaisir avant tout. - Mais j'aime autant recevoir du plaisir que d'en donner. Met toi sur le dos. Je m'exécute. Elle se lève toujours sans me regarder car elle n'a plus le bandeau, se met en 69. Je prends un oreiller pour être à l'aise. Elle n'attend pas que je commence à la lécher et s'occupe activement de mon sexe. Cette fois je suis prisonnier. J’essaie de lui donner du plaisir avec ma langue pour la distraire mais non, la furie est sur mon sexe et elle ne le lâchera pas. Je baisse les armes me laissant emporter par les affres du plaisir. Les souvenirs s'estompent. Peut être dus à la jouissance. J'ai enfin abandonné mon cerveau d'analyse. Toujours est-il que je me rappelle d'elle fumant une cigarette à la fenêtre. Elle m'a dit que même sans le bandeau, elle voulait ne pas me regarder. Rester avec cet inconnu qui lui a permis de se libérer de quelques menus carcans. Enfin, c'est comme ça que je veux l'expliquer. Une autre possibilité est que de fixer une personne l'aurait peut être trop ramenée sur terre. Que cet inconnu pouvait avoir le visage de pleins d'autres, ou d'un seul. Que cela lui permettait surtout d'explorer sa propre libido ce qui était le but en soi comme je l'avais proposé. Après une pause, je lui masse le visage pour évacuer les dernières zones de stress. Puis elle me demande un massage plus fort, un palper-rouler. Ce massage a réactive notre libido. Nous recommençons à faire l’amour de manière conventionnelle. Tendrement au début. Puis plus sauvagement. Je m’intéresse à son point G cette fois que je travaille pour lui donne rune suite de jouissances multiples jusqu’à qu’elle coule entre mes doigts. La encore avec de grands et beaux soubresauts dans une ribambelle de cris. Nous nous lovons en cuillère comme deux amants éternels. Bien sur, aucun de nous n'a l'intention de tomber amoureux l'un de l'autre. Mais on pouvait profiter de la présence tendre de l'autre pendant encore quelques minutes. J'aimerais n'avoir qu'une seule facette. Montrer juste ma part libertine. Le fait est qu'être libertin ou en relation BDSM n’est pas important. Ce qui l’est c’est la relation avec l’autre. Cette bulle hors du temps, une union, même temporaire avec un autre être humain. J'ai une grande imagination. Étant jeune je pensais que j'avais inventé le décor autour de moi (la matrice avant Matrix). Mais l’imagination est aussi une prison et je suis toujours dans cette quête de l’autre pour me sentir moins seul. La seule chose que la réalité a de vraiment supérieure (pour moi), c'est de sentir la réelle présence d'un être humain. De part des jeux un peu transgressif créer de liens uniques, une symbiose, une fusion. Je reste époustouflé par Cerseï. Comme à chaque fois, je décide de tomber amoureux quelques heures. Je ne me contente pas d'intellectualiser et d'être bestial. C’est un cocktail qui mélange un quart d'intellect, un quart d'instinct, un quart de sentiment et un quart de savoir faire. Un cocktail fort dont on ressort abasourdit. A la fois léger, heureux et délaissé, vidé et ragaillardît. Je ne l’ai aimé que quelques heures mais aussi intensément que pour une vie. Ethan Illustration : Lena Headey par Julie Dennis Brother
1 Commentaire
Galathee
9/4/2019 12:49:44
Waouh.... ça c'est ce que j'ai envie de (re)vivre après des mois sans aucune relation sexuelle....
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Ethan, adepte du BDSM, dominant, explorant une philosophie humaniste au travers d'une pratique socialement en marge. Archives
Novembre 2023
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